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Le Parti et sa haute direction toujours aux côtés de son peuple

raul santiagoL’année 2011 a marqué le début d’une décennie caractérisée par l’introduction, graduelle et progressive, de profonds changements structurels et de concepts dans le modèle économique du pays, visant à perfectionner et à préserver le socialisme, ajusté aux conditions de Cuba, et non à revenir au passé capitaliste et néocolonial balayé par la Révolution.

Au cours de cette période lourde de défis et de dangers pour la Patrie, la haute direction du Parti, conduite à partir de cette année-là par le général d’armée Raul Castro Ruz, a établi comme principale tâche stratégique le redressement économique de la nation et son développement futur selon les principes de durabilité et d’efficacité.
UN CONGRÈS POUR L’AVENIR DE LA PATRIE

À l’issue d’un processus largement démocratique et transparent, auquel plus de huit millions de Cubains ont participé pour discuter des principaux documents à soumettre à examen, s’est déroulé 6e Congrès du Parti communiste de Cuba, du 16 au 19 avril 2011.

La date ne pouvait pas être plus symbolique : le jour même du 50e anniversaire de la victoire sur l’invasion mercenaire de Playa Girón, des décisions de première importance ont été prises, telles que la mise à jour du modèle économique cubain et l’approbation des Orientations de politique économique et sociale du Parti et de la Révolution.

Lors de ce Congrès, le général d’armée Raul Castro Ruz fut élu Premier secrétaire et José Ramon Machado Ventura Deuxième secrétaire. Le Commandant en chef fit part de son intérêt à ne pas être membre du Comité central, et en expliqua les raisons dans un message émouvant, dans lequel il exprima son accord avec l’idée de limiter à deux mandats consécutifs de cinq ans l’occupation des postes politiques et étatiques essentiels.

Sur la base de ce qui fut approuvé lors de ce Congrès, le général d’armée Raul Castro Ruz avertit qu’une tâche d’une telle ampleur n’était pas un miracle qui pouvait être accompli du jour au lendemain, et il définit comme formule de succès dans la conduite collective : l’ordre, la discipline et l’exigence.

UN SEUL PARTI COMME PILIER DE L’UNITÉ
L’année 2012 s’est ouverte avec la tenue de la 1ère Conférence nationale du Parti, qui était, en pratique, une continuation du 6e Congrès de l’organisation, déterminée à améliorer les méthodes et le style de travail pour être au niveau exigé par les transformations en cours.

L’année 2012 s’est ouverte avec la célébration de la première Conférence nationale du Parti, qui était, en pratique, une continuation du 6e Congrès de l’organisation, déterminée à améliorer les méthodes et le style de travail pour être à la hauteur exigée par les transformations en cours.

« N’oublions pas, soulignait le Premier secrétaire, que seul le Parti, en tant qu’institution rassemblant l’avant-garde révolutionnaire et garantie sûre de l’unité des Cubains à tout moment, peut être le digne héritier de la confiance placée par le peuple dans l’unique Commandant en chef de la Révolution cubaine, le camarade Fidel Castro Ruz. »

CUBA REÇOIT LA VISITE DE SA SAINTETÉ BENOÎT XVI
Coïncidant avec le 400e anniversaire de la découverte de l’image de la Vierge de la Caridad del Cobre, Cuba a reçu fin mars 2012, avec affection et respect, Sa Sainteté Benoît XVI, qui eut l’occasion de mieux connaître les habitants de l’archipel et de prendre connaissance des causes justes qu’ils défendent.

Le général d’armée Raul Castro Ruz exprima sa satisfaction pour les relations entre le Saint-Siège et l’Île, toujours fondées sur la compréhension mutuelle et l’appréciation commune sur des questions vitales pour l’humanité, parmi lesquelles l’impérieuse nécessité de parvenir à la pleine dignité de l’être humain.

« Nous sommes conscients que celle-ci ne se construit pas seulement sur des bases matérielles, mais aussi sur des valeurs spirituelles, telles que la générosité, la solidarité, le sens de la justice, l’altruisme, le respect mutuel, l’honnêteté et l’attachement à la vérité », devait déclarer Raul.

SANDY FRAPPE DE PLEIN FOUET L’EST DE CUBA
En octobre 2012, le violent ouragan Sandy a frappé notre pays provoquant, notamment à Santiago de Cuba, Guantanamo et Holguin, la mort de 11 citoyens et des pertes économiques s’élevant à près de 7 milliards de pesos, principalement dans les secteurs du logement et de l’immobilier, de l’agriculture et des infrastructures vitales.

En ces moments fatidiques, le Premier secrétaire du Comité central du Parti a reconnu que le panorama était certes sombre, mais, après avoir surmonté la confusion initiale, avec le soutien matériel et la solidarité de tous les Cubains, la reconstruction dans les trois provinces les plus touchées a commencé immédiatement.

ASSURER LA CONTINUITÉ DE LA RÉVOLUTION
Le 24 février 2013, une date empreinte d’un fort symbolisme patriotique, s’est tenue la session constitutive de l’Assemblée nationale du Pouvoir populaire dans sa 8e Législature, en plus de la mise en place du nouveau Conseil d’État, un moment d’une importance particulière dans la configuration graduelle de la direction future du pays.

Ces pas décisifs ont été soulignés par Raul, qui a souligné que « la plus grande satisfaction est la tranquillité et la confiance sereine que nous ressentons au moment de transmettre aux nouvelles générations la responsabilité de poursuivre la construction du socialisme et d’assurer ainsi l’indépendance et la souveraineté nationales ».

À ceux qui, à l’intérieur ou à l’extérieur du pays, avec de bonnes ou de mauvaises intentions, encouragent à aller plus vite, il a rappelé, une fois de plus, que le processus de transformations en cours se poursuivra sans hâte, mais sans pause, sans thérapies de choc contre le peuple et sans laisser aucun citoyen sans protection.

PRÉSERVER L’UNITÉ DE TOUS LES CUBAINS DIGNES
La commémoration à Santiago de Cuba du 60e anniversaire de l’attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, a permis d’apprécier une ville en pleine reconstruction, neuf mois après le passage dévastateur de l’ouragan Sandy dans la région orientale du pays, qui a laissé de lourdes pertes matérielles.

Après avoir évoqué les événements marquants de la dernière étape de la lutte insurrectionnelle, il a déclaré que les années ont passé, mais qu’il s’agit toujours d’une Révolution de jeunes, qui ne néglige pas l’importance stratégique de préserver, avant tout, l’unité de tous les Cubains dignes.

HONORER LE VÉRITABLE PROTAGONISTE DE LA RÉVOLUTION
De nouveau à Santiago de Cuba, le 1er janvier 2014, cette fois pour commémorer le 55e anniversaire du triomphe de la Révolution, le Premier secrétaire du Comité central du Parti affirma que la victoire a été possible, en premier lieu, grâce à l’immense capacité de résistance et de lutte du noble peuple cubain.

Dans son discours, il a rendu un hommage mérité à ceux qui ont donné leur vie dans les montagnes, les campagnes et les villes, aux combattants rebelles et clandestins, à ceux qui, après le triomphe, sont tombés dans d’autres missions honorables, et à tous ceux qui ont consacré leur jeunesse et leur énergie à la construction du socialisme.

« Nous voici au terme de 55 ans d’une lutte incessante face aux desseins de onze administrations nord-américaines qui, faisant preuve d’une hostilité plus ou moins marquée, n’ont pas renoncé à leur ambition de changer le régime économique et social issu de la Révolution, d’étouffer son exemple et de restaurer la domination impériale sur notre Patrie. »

OPTIMISME ET CONFIANCE DANS L’AVENIR
La signature par tous les chefs d’État et de gouvernement de la Proclamation de l’Amérique latine et des Caraïbes comme Zone de paix a été l’étape la plus importante du 2e Sommet de la Communauté des États Latino-américains et Caribéens (CELAC), qui s’est tenu à La Havane le 28 janvier 2014, et dont Cuba assurait alors la présidence tournante.

À la veille de cet événement historique, la première étape du terminal à conteneurs de Mariel a été inaugurée, un ouvrage que Raul a décrit comme un signe d’optimisme et de confiance grâce auquel les Cubains envisagent l’avenir socialiste et prospère de la patrie.

Cet ouvrage constitué un exemple éloquent de la manière dont, sur la base de la coopération et de la solidarité, les pays d’Amérique latine et des Caraïbes peuvent relever n’importe quel défi et utiliser les ressources de manière souveraine, en vue d’un véritable processus de développement qui contribue au bien-être de leurs peuples.

UN CHAPITRE SANS PRÉCÉDENT DANS LES RELATIONS ENTRE LES ETATS-UNIS ET LA CUBA
Le 17 décembre 2014, le président Raul Castro Ruz annonçait au monde la décision des gouvernements de Cuba et des États-Unis de rétablir les relations diplomatiques, résultat de conversations au plus haut niveau, qui ont permis d’avancer dans la résolution de questions d’intérêt pour les deux pays.

Dans le cadre des questions convenues, ce jour-là, Gerardo Hernandez, Ramon Labañino et Antonio Guerrero, qui, avec René Gonzalez et Fernando Gonzalez, ont été accueillis par le peuple comme de véritables héros à leur retour au pays, après avoir purgé de lourdes peines injustes dans les prisons étasuniennes.

Faisant référence aux progrès réalisés, Raul a expliqué qu’il s’agissait d’une démonstration de l’apprentissage de l’art de coexister, de manière civilisée, malgré nos différences, bien que sur le long chemin à parcourir, la question essentielle reste à résoudre : la levée du blocus économique, commercial et financier exercé contre Cuba.

DES AIRS DE CHANGEMENT DANS LES RELATIONS AVEC L’ÎLE
Après avoir été exclue de six forums continentaux précédents, en guise de punition pour sa conduite sans faille dans la défense de ses droits légitimes et des nobles causes des autres peuples frères, Cuba a participé au 7e Sommet des Amériques, qui s’est tenu à Panama en avril 2015.

À la tête de la délégation cubaine, le général d’armée Raul Castro Ruz a remercié la solidarité de tous les pays d’Amérique latine et des Caraïbes qui ont rendu possible la présence de Cuba, pour la première fois à ce rendez-vous, un signe clair du vent de changement en faveur de l’autodétermination et de l’unité continentale.

Le Sommet, a reconnu Raul, a été un espace propice pour que la région réaffirme son soutien à la juste lutte de notre peuple contre le blocus, et soulève la nécessité de changer la nature des relations continentale à un moment où notre région ne peut plus être traitée comme une arrière-cour de l’empire.

CUBA, UN PAYS DE PAIX

Le pape François, qui, en septembre 2015, a visité les villes de La Havane, Holguin et Santiago de Cuba a passé quatre jours intenses et émouvants dans l’Île ; il a officié trois messes ; il a rendu une visite de courtoisie à Fidel ; il s’est recueilli devant la Vierge de la Caridad d’El Cobre, et a reçu de nombreux témoignages d’affection et l’admiration des Cubains.

L’année suivante, La Havane a accueilli un autre événement sans précédent : la rencontre entre François, souverain pontife de l’Église catholique, et le patriarche Cyrille, chef de l’Église orthodoxe russe, scellée par une déclaration qui établit la nécessité de surmonter les différences historiques et d’unir les efforts au profit du bien commun.

« Cuba continuera à soutenir la paix », a affirmé Raul à cette occasion, tout en réitérant l’engagement que la nation avait concraté alors, en tant que médiateur, dans la résolution du conflit en Colombie ; une vocation que le Pape François, avant de partir, a reconnue par des mots de profonde gratitude : « (…) À ce pas, Cuba deviendra la capitale de l’unité ».

ÉTATS-UNIS-CUBA : UN LONG CHEMIN À PARCOURIR
La visite de Barack Obama sur l’Île en mars 2016, la première d’un président de ce pays depuis 88 ans, a constitué un moment marquant, au cours duquel il a pu apprécier l’hospitalité des Cubains, qui n’ont jamais nourri de sentiments d’hostilité à l’égard du peuple des États-Unis.

Quinze mois après l’annonce du rétablissement des relations diplomatiques, des résultats concrets ont été obtenus ; cependant, il est clair que beaucoup plus pourrait être fait si le blocus, considéré comme le principal obstacle au développement économique de Cuba et au bien-être de sa population, était levé.

« Nous sommes d’accord pour affirmer que nous avons un chemin long et complexe à parcourir, mais l’important est que nous avons commencé à prendre des mesures pour construire un nouveau type de relation, comme celle qui n’a jamais existé entre Cuba et les États-Unis », a déclaré le général d’armée.

LE CAP EST FIXÉ
Cinq ans après l’édition précédente, et comme une continuité logique dans le traitement des questions stratégiques pour le présent et l’avenir de la nation, le 7e Congrès du Parti communiste de Cuba s’est tenu entre le 16 et le 19 avril 2016, le dernier avec la présence du leader historique de la Révolution, Fidel Castro Ruz.
L’événement a permis d’analyser les projets concernant la Conceptualisation du modèle économique et social de développement socialiste, et les bases du Plan national de développement économique et social à l’horizon 2030, des documents qui ont ensuite été soumis à un large processus de consultation, avant d’être finalement approuvés par le Comité central, le 18 mai 2017.
« Le cap est déjà fixé », a signalé Raúl, précisant que le rythme des transformations dépendrait du consensus qui se construirait au sein de la société, et de la capacité organisationnelle à introduire les changements nécessaires sans hâte, et encore moins sans improvisation.
L’HOMMAGE DU PEUPLE AU COMMANDANT INVAINCU
Tard dans la soirée du 25 novembre 2016, il a annoncé le décès de Fidel, une nouvelle qui a rempli de douleur et de tristesse tout le peuple, qui, profondément ému par sa perte physique irréparable, s’est rendu en masse aux cérémonies d’hommage et pour faire sien le serment de fidélité à l’œuvre révolutionnaire.

Après avoir rendu les honneurs posthumes dans la capitale du pays, le cortège funèbre transportant les cendres du Commandant en chef de la Révolution a reçu le témoignage d’amour de tous les Cubains, jusqu’à l’arrivée à la destination finale au cimetière Santa Ifigenia de Santiago de Cuba.

Après avoir remercié les témoignages d’affection et de respect venus des quatre coins de la planète, son frère et inséparable compagnon a déclaré que le meilleur monument à Fidel, qui a légué son exemple durable, son optimisme inébranlable et sa foi en la victoire, est de faire du concept de Révolution une réalité.

TRUMP REPREND LA STRATÉGIE D’AFFRONTEMENT

L’arrivée à la Maison-Blanche, en janvier 2017, d’une administration républicaine dirigée par Donald Trump, a été marquée par un retour à l’habituelle stratégie d’affrontement, visant notamment à renforcer le blocus économique, commercial et financier.

La plus grande preuve de la politique rétrograde de cette administration réside dans l’application de plus de 240 mesures, afin d’aggraver les dommages subis par notre pays et d’augmenter les pénuries de sa population.

L’OURAGAN IRMA MET LES CUBAINS À L’ÉPREUVE
Entre le 8 et le 10 septembre 2017, l’ouragan Irma a violemment frappé 12 provinces du pays, notamment le long de toute la côte nord, causant la mort de dix personnes et des pertes matérielles estimées à plus de 13 milliards de pesos.

En sa qualité de président du Conseil de défense nationale, le général d’armée Raul Castro Ruz a reconnu l’esprit de résistance et de victoire du peuple, qui a su faire face à l’événement météorologique et à l’étape difficile de la reconstruction avec organisation, unité, discipline et solidarité.

« Les résultats obtenus confirment la validité et le bien-fondé de la doctrine de la guerre de tout le peuple et de l’organisation du dispositif de défense du territoire, en tant que piliers pour résister et vaincre tout événement ou menace, qu’il provienne de la nature ou de toute autre type », a-t-il souligné.

LA PLUS BELLE OEUVRE QUE NOUS AYONS JAMAIS CONSTRUITE
Sur la base de la décision de prolonger le mandat des députés du Parlement et des délégués des assemblées provinciales, en raison des graves dommages causés par l’ouragan Irma, la session constitutive de la 9e Législature de l’Assemblée nationale du Pouvoir populaire a eu lieu en avril 2018.

L’organe législatif a élu Miguel Diaz-Canel Bermudez à la présidence du Conseil d’État et du Conseil des ministres, une mesure qui, selon le camarade Raul, n’est pas le fruit du hasard ou de la précipitation, mais fait partie du processus de transfert progressif et ordonné des principaux postes aux nouvelles générations.

Insistant sur l’impérieuse nécessité de sauvegarder l’arme la plus puissante, l’unité indestructible de tous les révolutionnaires, le général d’armée a exprimé son sentiment de « profonde satisfaction, avec le peuple héroïque de Cuba, pour l’œuvre consolidée de la Révolution, la plus belle que nous ayons jamais réalisée ».

CUBA, FERME ET VICTORIEUSE, 60 ANS PLUS TARD

Le 1er janvier 2019, Cuba commémorait le 60e anniversaire du triomphe révolutionnaire, pour entamer un processus qui, en six décennies, n’a pas connu une minute de calme, face aux tentatives de 12 administrations étasuniennes de forcer un changement de régime, par un moyen ou un autre, ou avec plus ou moins d’agressivité.

Le Premier secrétaire du Parti a réitéré la volonté de coexister de manière civilisée, malgré nos différences, dans une relation de paix, de respect et de bénéfice mutuel, en plus de rappeler la conviction que toute stratégie visant à détruire la Révolution se heurtera au rejet le plus ferme du peuple cubain.

« Soixante ans après le triomphe, a-t-il assuré, nous pouvons affirmer que nous sommes libérés de la peur, nous ne sommes pas intimidés par le langage de la force ou des menaces, ils ne nous ont pas intimidés lorsque le processus révolutionnaire n’était pas encore consolidé, ils n’y parviendront même pas de loin maintenant que l’unité du peuple est une réalité indestructible. »

LE PEUPLE EN TANT QUE VÉRITABLE CONSTITUANT
Lors d’une session extraordinaire de l’Assemblée nationale du Pouvoir populaire, la nouvelle Constitution de la République a été officiellement proclamée le 10 avril 2019, à l’occasion du 150e anniversaire de la première Loi fondamentale de Cuba, approuvée à Guáimaro par les initiateurs de nos guerres d’indépendance.

Auparavant, le peuple est devenu le véritable constituant, en participant activement à un large processus de consultations sur le contenu du projet, qui a abouti à la modification de près de 60 % de ses articles, pour ensuite recevoir le soutien de la majorité lors d’un référendum organisé le 24 février de la même année.

« La Constitution que nous proclamons aujourd’hui garantit la continuité de la Révolution et l’irrévocabilité de notre socialisme. Elle résume les aspirations de tous ceux qui, depuis plus de 150 ans, ont lutté pour une Cuba libre, indépendante et souveraine et de justice sociale. »

Le début aujourd’hui du 8e Congrès du Parti communiste de Cuba constituera sans aucun doute un autre de ces jalons d’un pays judicieusement dirigé par le général d’armée Raul Castro Ruz, dont l’œuvre se reflète fidèlement dans l’exemplarité d’une nation qui, dans le contexte difficile d’une pandémie dévastatrice et de la recrudescence du blocus et de la subversion financés par les États-Unis, a vu croître son prestige mondial en tant que référence de solidarité, est un paradigme du développement de la science et suscite l’admiration pour être un modèle de résistance et de défense de sa pleine souveraineté.

(Taken from Granma)

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