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La nouvelle subversion en embuscade sur le chemin

titeresDe nombreuses preuves ont mis à nu les plans d’une sorte de nouvelle contre-révolution à Cuba, qui ne manque aucune occasion de faire valoir ses capacités médiatiques sur Internet ; un objectif vers lequel le gouvernement des États-Unis, en utilisant des organisations non gouvernementales et d’autres institutions financées par celles-ci, a organisé un système de médias numériques « indépendants », ayant pour cible des secteurs préalablement étudiés et identifiés comme vulnérables.

Le président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a une nouvelle fois dénoncé sur Twitter de ces manœuvres acharnées de l’empire, concoctées par ceux qu’il a appelés « les idéologues du coup d’État en douceur » : Open society à Cuba et l’articulation contre-révolutionnaire. Il est important que les gens le sachent afin qu’ils ne puissent être trompés ou manipulés. C’est l’articulation d’un vieux scénario importé avec de nouveaux acteurs », a-t-il signalé.

La référence du président condamne le système de publications numériques qui est fortement financé par des organisations telles que l’Open Society, et qui s’est développé sous la direction de la soi-disant Internet Task Force contre Cuba, créée par la CIA en 2017.

Agissant sur les publics, les sectorisant, avec l’utilisation de Big Data, elle persiste à induire, à travers une désinformation et une intoxication systématiques des publics et profitant des lacunes de la communication institutionnelle, ses lignes de messages visant à construire des matrices d’opinions négatives pour la Révolution.

Conformément à la manœuvre ourdie par Washington, annoncée en 2004 dans le cadre du « Genesis project », la nouvelle contre-révolution – loin de la traditionnelle dans sa forme mais pas dans son contenu, et dont la préparation a eu comme unique « inconvénient » de ne pas trouver d’authentiques de dirigeants à Cuba – devait être prête par les temps qui courent.

Ils l’ont conçue comme un nouveau type de contre-révolution, autoproclamée « de gauche », censée occuper le devant de la scène de la subversion sur l’Île, prête à frapper, tapie dans l’ombre, attendant le moment où le chaos encouragé par le Nord lui donnerait l’occasion de se présenter comme « la seule option possible ».

Ils n’ont visiblement rien retenu des nombreuses leçons que le peuple cubain, dans une forte unité, ne cesse de leur donner en guise réponse.

(Source: Granma)

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