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Les sanctions d’un empire pervers et immoral contre Cuba

Cuba sancionesLe président de la République de Cuba, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a condamné ce jeudi sur son compte Twitter les dernières actions de Washington contre son pays : « Le gouvernement impérial applique de nouvelles sanctions qui affectent le peuple cubain, alors que le peuple des États-Unis est durement touché par la pandémie et l’escalade raciste. Quel gouvernement immoral, arrogant et pervers ! Ici, personne ne se rend ! »

À cette occasion, le Secrétaire d’État étasunien, Mike Pompeo, a annoncé l’inclusion de sept entités de notre pays dans la « liste restreinte de Cuba » : Financiera Cimex s.a. (Fincimex), trois hôtels, deux centres de plongée et un parc marin touristique, sous des prétextes illégitimes. Ceci pourrait sembler incroyable si ce n’était de la position impériale cynique d’une administration déterminée à intensifier, jusqu’à l’irrationnel, le criminel blocus appliqué depuis plus d’un demi-siècle contre les familles cubaines.

Alors que le peuple des États-Unis subit malheureusement les effets du fait d’être le pays qui affiche le plus grand nombre de cas confirmés de COVID-19 dans le monde ; que ce pays est secoué par les manifestations les plus importantes enregistrées depuis 1968 pour protester contre la brutalité policière, le racisme, la xénophobie et l’inégalité dans des centaines de villes ; et que les citoyens exigent des solutions aux problèmes urgents de cette société ; son gouvernement persistent dans ses efforts pour faire plier la Grande Île des Antilles en adoptant des mesures coercitives unilatérales, et ce, en pleine pandémie.

Une fois de plus, les représentants du Département d’État des États-Unis mentent lorsqu’ils prétendent que ces sanctions ont pour but d’aider le peuple cubain. En réalité, ils cherchent à s’attirer les faveurs des groupes extrémistes anticubains de la Floride à des fins électorales. Ils cherchent à s’attaquer à notre activité touristique, à nos opérations financières internationales et à l’envoi de fonds d’aide familiale de l’étranger vers l’Île, dans une tentative perverse d’étouffer l’économie nationale.

Avec ces nouvelles mesures, plus de 200 entités et sous-entités cubaines ont déjà été injustement sanctionnées par le gouvernement des États-Unis. Après des décennies d’application du blocus, il a été largement démontré qu’il affecte le peuple cubain, les résidents à l’étranger et des États tiers ; mais aussi, que cette Île résiste et continue de vaincre, car elle a la vérité et la justice de son côté.
Les sanctions d’un empire pervers et immoral contre Cuba

Le président de la République de Cuba, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a condamné ce jeudi sur son compte Twitter les dernières actions de Washington contre son pays : « Le gouvernement impérial applique de nouvelles sanctions qui affectent le peuple cubain, alors que le peuple des États-Unis est durement touché par la pandémie et l’escalade raciste. Quel gouvernement immoral, arrogant et pervers ! Ici, personne ne se rend ! »

Le président de la République de Cuba, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a condamné ce jeudi sur son compte Twitter les dernières actions de Washington contre son pays : « Le gouvernement impérial applique de nouvelles sanctions qui affectent le peuple cubain, alors que le peuple des États-Unis est durement touché par la pandémie et l’escalade raciste. Quel gouvernement immoral, arrogant et pervers ! Ici, personne ne se rend ! »

À cette occasion, le Secrétaire d’État étasunien, Mike Pompeo, a annoncé l’inclusion de sept entités de notre pays dans la « liste restreinte de Cuba » : Financiera Cimex s.a. (Fincimex), trois hôtels, deux centres de plongée et un parc marin touristique, sous des prétextes illégitimes. Ceci pourrait sembler incroyable si ce n’était de la position impériale cynique d’une administration déterminée à intensifier, jusqu’à l’irrationnel, le criminel blocus appliqué depuis plus d’un demi-siècle contre les familles cubaines.

Alors que le peuple des États-Unis subit malheureusement les effets du fait d’être le pays qui affiche le plus grand nombre de cas confirmés de COVID-19 dans le monde ; que ce pays est secoué par les manifestations les plus importantes enregistrées depuis 1968 pour protester contre la brutalité policière, le racisme, la xénophobie et l’inégalité dans des centaines de villes ; et que les citoyens exigent des solutions aux problèmes urgents de cette société ; son gouvernement persistent dans ses efforts pour faire plier la Grande Île des Antilles en adoptant des mesures coercitives unilatérales, et ce, en pleine pandémie.

Une fois de plus, les représentants du Département d’État des États-Unis mentent lorsqu’ils prétendent que ces sanctions ont pour but d’aider le peuple cubain. En réalité, ils cherchent à s’attirer les faveurs des groupes extrémistes anticubains de la Floride à des fins électorales. Ils cherchent à s’attaquer à notre activité touristique, à nos opérations financières internationales et à l’envoi de fonds d’aide familiale de l’étranger vers l’Île, dans une tentative perverse d’étouffer l’économie nationale.

Avec ces nouvelles mesures, plus de 200 entités et sous-entités cubaines ont déjà été injustement sanctionnées par le gouvernement des États-Unis. Après des décennies d’application du blocus, il a été largement démontré qu’il affecte le peuple cubain, les résidents à l’étranger et des États tiers ; mais aussi, que cette Île résiste et continue de vaincre, car elle a la vérité et la justice de son côté.

(Source:Granma)

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