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José Marti nous accompagne toujours

MartiMartiniens, fidélistes infatigables et obstinés, nous souscrivons de notre voix et de nos actes ces paroles du président Miguel Diaz-Canel dans les premières heures de 2020 : « Nous, les Cubains, sommes les vainqueurs de l’impossible. Et c’est un bon moment pour nous proposer que cette année soit une autre année d’exception positive. »

Une année belle et difficile s’achève. Une année pleine de défis s’ouvre devant nous. En ces moments de passage de l’une à l’autre, en ces journées de résistance et de victoire d’hier, d’aujourd’hui et de demain, l’image, l’exemple et l’œuvre de José Marti s’offre à nous et nous encouragent.

Au cours des 61 années qui se sont écoulées depuis la victoire de Janvier jusqu’à ce jour, et même plus tôt, depuis que Fidel a reconnu l’Apôtre José Marti comme l’auteur intellectuel de l’assaut des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes dans son plaidoyer fondamental au procès de la Moncada, Marti a toujours été une référence majeure, un guide indispensable.

N’en déplaise aux ennemis et aux sans-patrie qui ont prétendu dénaturer le contenu de ses messages sans équivoque en faveur de la pleine souveraineté et de l’équilibre du monde, de la justice sociale et de la défense de la dignité humaine, Marti se dresse toujours.

Comme il le fait maintenant, alors que le siège impérial se resserre et que les millions de David qui forgent l’unité de notre peuple se préparent non seulement à ne pas se laisser vaincre, mais à transformer les rêves en réalité malgré les assauts de ce Goliath qui tente sans succès d’imposer ses diktats à l’Île et au continent.

Nous, nous sommes les David qui comprenons la profondeur du symbole identitaire que nous a légué le Maître : « Je ne sais quel mystère de tendresse porte en lui ce mot si doux, ni quel goût si pur au-delà du mot même homme, qui est déjà si beau, car si on le prononce comme il se doit, il semble qu’il est l’air tel un nimbe d’or, et il est trône ou sommet ou montagne ou nature ! On dit Cubain, et une douceur telle une tendre fraternité se répand dans nos entrailles ».

Nous sommes ces gens déterminés qui luttons auprès de lui et qui créons sans nous cacher : « La vie doit être quotidienne, mobile, utile ; et le premier devoir d’un homme de ce moment, c’est d’être un homme de son temps. »

Martiniens, fidélistes infatigables et obstinés, nous souscrivons de notre voix et de nos actes ces paroles du président Miguel Diaz-Canel dans les premières heures de 2020 : « Nous, les Cubains, sommes les vainqueurs de l’impossible. Et c’est un bon moment pour nous proposer que cette année soit une autre année d’exception positive. »

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